La sorcellerie existe sans aucun doute et elle est une réalité : le Saint Coran et la Sunna le prouvent. Elle fait partie des 7 plus grands péchés que le prophète (psl) a énuméré. Malheureusement nous constatons, de plus en plus, des musulmans qui prient tous les jours, jeûnent le mois de Ramadan, s’acquittent de leur Zakat et font le pèlerinage à la Mecque, mais ces musulmans ne s’empêchent point, lorsqu’ils ont un problème, de rendre visite à un devin, charlatan, sorcier, magicien, voyant ou similaire et solliciter ses services pensant qu’il peut lui lever un coin du voile de l’inconnaissable. D’autres n’hésitent pas à recourir à la sorcellerie pour « marabouter » leurs semblables et leur causer du tord. Certaines de ces pratiques peuvent porter atteinte au cœur et au corps, après quoi, elles peuvent provoquer la maladie, la folie, la mort ou séparer un couple, mais leur influence est conditionnée par la permission universelle d’Allah. Il s’agit en fait d’un acte satanique qui, dans la majorité des cas, ne peut aboutir sans commettre l’association et se rapprocher des mauvais esprits en faisant ce qui les agrée en les servant et en commettant l’association.
Nous allons, dans les lignes qui suivent, démasquer ces fauteurs de trouble sur terre que sont les sorciers, rappeler les mises en garde sévères que le prophète (psl) a lancé à l’endroit des musulmans qui vont les voir et, enfin, les voies et moyens légiférés par le Coran et la Sounnah pour se protéger contre la sorcellerie. En Dieu nous demandons assistance !
I- Preuves de l’existence de la sorcellerie dans le Coran
Dieu a prouvé dans le Coran l’existence de la sorcellerie à travers plusieurs versets, dont en en voici quelques uns:
« Et ils suivirent ce que les diables racontent contre le règne de Salomon. Alors que Salomon n’a jamais été mécréant mais bien les diables : ils enseignent aux gens la magie ainsi que ce qui est descendu aux deux anges Hâroût et Mâroût, à Babylon ; mais ceux-ci n’enseignaient rien à personne, qu’ils n’aient dit d’abord: « Nous ne sommes rien qu’une tentation : ne sois pas mécréant » ; ils apprennent auprès d’eux ce qui sème la désunion entre l’homme et son épouse. Or, ils ne sont capables de nuire à personne qu’avec la permission d’Allah. Et les gens apprennent ce qui leur nuit et ne leur est pas profitable. Et ils savent, très certainement, que celui qui acquiert ce pouvoir n’aura aucune part dans l’au-delà. Certes, quelle détestable marchandise ils ont vendu leurs âmes ! Si seulement ils savaient » (S Baqara, V 102)
Une autre preuve dans la sourate Taha, Dieu nous rappelle la discussion entre le prophète Moise (psl) et les charlatans ; Allah dit : « Ils dirent : « Ô Moise, ou tu jettes (le premier ton bâton) ou que nous soyons les premiers à jeter ? »Il dit : « Jetez plutôt ». Et voila que leurs cordes et leurs bâtons lui parurent ramper sous l’effet de leur magie. Moise ressentit quelque peur en lui-même. Nous lui dîmes : « N’aie pas peur, c’est toi qui auras le dessus. Jette ce qu’il y a dans ta main droite ; cela dévorera ce qu’ils ont fabriqué. Ce qu’ils ont fabriqué n’est qu’une ruse de magicien ; et le magicien ne réussit pas, où qu’il soit ». Les magiciens se jetèrent prosternés, disant : « Nous avons foi en le Seigneur de Moise et d’Aaron » (S Tâha, V 65-70)
Dieu parlant de la même histoire dans une autre sourate, dit : « « Jetez », dit-il. Puis lorsqu’ils eurent jeté, ils ensorcelèrent les yeux des gens et les épouvantèrent, et vinrent avec une puissante magie » (S A’raf, V 116)
II- Preuves de l’existence de la sorcellerie dans la Sounna
La Sounna également confirme l’existence de la sorcellerie puisque le prophète (psl) lui-même a été ensorcelé. Dans un hadith rapporté par Boukhari et Mouslim, le prophète (psl) dit un jour à Aicha (son épouse) : « O Aicha, sais-tu bien que Dieu m’a inspiré la décision que je lui avais demandée ? Deux hommes sont venus chez moi, le premier s’est assis auprès de ma tête et l’autre à mes pieds. Celui qui s’est mis à mon chevet dit à l’autre : « De quoi cet homme se plaint-il ? » Et l’autre de répondre : « il a été ensorcelé ». Qui l’a ensorcelé ? demanda le premier. L’autre répliqua : « Labin Ibn A’çam, un homme de Béni Zourayq, un hypocrite et l’allié des juifs...- Et sur quoi ? – Sur un peigne et quelques poils qui se trouvent dans une enveloppe d’une spathe de palmier mâle – Où sont ces objets ? – Sous une pierre près du puits Dzarwane.
Aicha poursuivit : « Le prophète (psl) se rendit auprès de ce puits, retira ces objets, et dit :
« Ce puits que j’ai vu ressemblait à une infusion de henné, les têtes des dattiers ressemblaient à celles des démons. Puis il ajouta : « ils furent retirés ». Aicha de lui demander : « Tu ne les as donc pas dispersés ? » Il répondit : « Du moment que Dieu m’a guéri, j’ai éprouvé de la répugnance à provoquer par là une animosité entre les hommes » (Boukhari, Mouslim et Ahmad)
Dans un récit presque analogue mais selon la version d’Ibn Abbass, on trouve à la fin cet ajout :
« C’étaient Ali, Zoubeyr Ibn Al Awwam et Ammar Ibn Yassir qui ont été chargé de cette mission et qui avaient retiré ces objets. Ils avaient trouvé une corde qui contenait douze nœuds. Dieu à ce moment fit descendre les deux sourates talismaniques : Falaqi et Nassi. Chaque fois que le prophète (psl) récitait un verset, un nœud se détachait. Le dernier nœud une fois détaché, il se sentit comme étant libéré des entraves. L’ange Jibril l’exorcisait en ces termes : « Au nom de Dieu je t’exorcise contre toute chose qui te nuit, contre tout jaloux et tout mauvais œil » (Mouslim)
Ces deux sourates dites protectrices, presque connues de tous les musulmans, sont :
« Dis : « Je cherche protection auprès du Seigneur de l’aube naissante, contre le mal des êtres qu’Il a créés, contre le mal de l’obscurité quand elle s’approfondit, contre le mal de celles qui soufflent (les sorcières) sur les nœuds, et contre le mal de l’envieux quand il envie » (S Falaq)
« Dis : « Je cherche protection auprès du Seigneur des hommes, le Roi des hommes, Dieu des hommes, contre le mal du mauvais conseiller, furtif, qui souffle le mal dans les poitrines des hommes, qu’il (le conseiller) soit un djinn ou un être humain » (S Nass)
III- Le sorcier (charlatan) s’associe à un djinn
La plupart du temps, un accord est passé entre le sorcier et le démon en sorte qu’il doit en premier lieu accomplir certains actes de polythéisme ou de mécréance évidente, que cela soit apparent ou caché. Parmi ces méthodes barbares de collaboration, il y a :
Méthode1 : Prêter serment
Le sorcier entre dans une chambre obscure puis allume un feu et met sur le feu une sorte d’encens selon le cas demandé. S’il désire une séparation ou mettre la haine et l’inimité ou autre chose de semblable, il pose sur le feu un encens ayant une mauvaise odeur, et s’il désire mettre de l’amour entre deux personnes, il met un encens ayant une bonne odeur. Puis le sorcier se met à formuler des incantations polythéistes précises pour prêter serment au chef des djinns et invoquer leurs grands. Cela se fait en général sous la condition que le charlatan, que la malédiction d’Allah tombe sur lui, doit être en état d’impureté majeure (Janaba) et porter des habits impurs. C’est alors que le djinn accepte de se manifester à lui et obéir à ses ordres.
Methode2 : L’immolation
Le sorcier prend un oiseau, un mouton, une poule ou un animal quelconque ayant certaines caractéristiques propres en fonction de la demande du djinn (la plupart du temps il faut que la couleur soit noire car le djinn préfère la couleur noire) puis il l’immole sans citer le nom d’Allah (Bissmillah). Puis il jette le cadavre sans citer le nom d’Allah dans un endroit abandonné ou un puits ou des décombres, étant souvent le domicile des djinns. Il retourne chez lui ensuite et formule des incantations polythéistes et ordonne enfin au djinn ce qu’il désire.
Méthode3 : la méthode inférieure
C’est la méthode la plus connue des sorciers et celui qui le pratique est le plus mécréant des sorciers. Elle consiste en ce que le sorcier, qu’il soit maudit, mette le Coran à ses pieds tels des chaussures puis entre aux toilettes et récite des incantations de mécréance à l’intérieur des toilettes. Ensuite il sort et s’assoit dans une chambre puis ordonne enfin au djinn ce qu’il désire. Pour être considéré comme sorcier « inférieur », il faut qu’il commette toutes sortes de péchés capitaux tels l’inceste, l’adultère ou l’insulte des religions, etc. Tout cela pour satisfaire le démon. Ce type de sorcier est le plus gradé des sorciers, car il possède plusieurs djinns à sa disposition et qui sont à ses services, contrairement aux autres qui n’en ont qu’un seul chacun.
Méthode4 : La souillure
Pour cette pratique, le sorcier maudit écrit une sourate parmi celles du Saint Coran avec du sang des menstrues ou autre impureté, puis il formule des incantations au djinn. C’est alors que ce dernier se présente et il peut ainsi lui ordonner ce qu’il désire.
Méthode5 : L’inversement
Cette méthode consiste à ce que le sorcier, qu’il soit maudit, écrive une sourate du Saint Coran en détachant les lettres et en les inversant, c’est à dire de la fin au début. Il formule ensuite ses incantations diaboliques, et le djinn se présente à lui. Il peut lui ordonner alors ce qu’il désire
Méthode6 : L’observation des étoiles
Le sorcier se met à observer une étoile précise et se met à l’invoquer (en dehors d’Allah) en récitant des formules de sorcellerie pleines de polythéisme.
Méthode7 : la méthode des effets personnels
Le sorcier demande à son client quelques uns de ses effets personnels comme un mouchoir, un bonnet, une chemise ou autre chose portant l’odeur de la sueur de la personne. Puis il y récite quelques sourates du Coran (à voix haute pour tromper le client) et d’autres incantations à voix basse pleines d’association.
IV- Indices pour démasquer le charlatan
Si un seul indice de ceux qui vont suivre se retrouve chez le guérisseur, c’est un sorcier sans le moindre doute :
- Il questionne le malade au sujet de son nom et du nom de sa mère
- Il prend quelques effets personnels du malade : vêtement, bonnet, bouchoir, etc.
- Parfois il demande un animal ayant certaines caractéristiques pour l’égorger sans citer le nom d’Allah et jette la dépouille dans les décombres
- Il écrit des talismans (gris-gris)
- Il récite des incantations incompréhensibles
- Il donne au malade un voile ou une feuille qui contient des carrés dans lesquels il y a des lettres et des chiffres
- Parfois il demande au malade (le client) de ne pas toucher d’eau (ne pas se laver) pendant un certain temps (quarante jours le plus souvent)
- Il donne au malade des feuilles qu’il doit brûler puis se parfume de la fumée
- Il murmure à l’oreille du malade des mots incompréhensibles
- Parfois il informe au malade de son nom, le nom de son pays ou des membres de sa famille, le problème pour lequel il est venu, etc. (rien d’étonnant de tout cela, c’est le djinn qui l’informe).
V- Mise en garde du prophète (psl) contre la sorcellerie
Dans la version de Mouslim, le prophète (psl) a dit : « Celui qui va voir un devin et le questionne sur des choses qui relèvent de l’avenir , ses prières ne sont pas acceptées pendant quarante jours » (Mouslim)
Dans une autre version, il a dit : « Celui qui va chez un devin et croit en ce qu’il lui dit, aura mécru ce qu’on a fait descendre sur Mouhamad (c’est à dire aura mécru le Coran) »
(Rapporté par Al Bazzâr, Ahmad et Hakim, authentifié par Albani)
A noter que plusieurs formes de sorcellerie existent de nos jours : devin, sorcier, charlatan, voyant, magicien, etc. désignent tous la même chose et relèvent de la sorcellerie.
La consultation de l’horoscope, la voyance en direct sur une chaine de radio ou de télé ou sur Internet, sont autant de formes de sorcellerie et il convient au musulman de s’en écarter.
VI- Jugement de la sorcellerie en Islam
La quasi totalité des savants sont d’accord que le sorcier doit être tué.
Ibn Qudâma a dit : « quant à la sentence du sorcier, c’est la mort ». Cela a été rapporté par Oumar, Ousmane Ibn Affane, Ibn Oumar, Hafsa, Jundub Ibn Abdallah, Jundub Ibn Karb, Qays Ibn Sa’d et Oumar Ibn Abdoul Aziz. C’est également l’avais d’Abou Hanifa et Malick »
VII- Protection contre la sorcellerie
Le prophète (psl) nous a laissé d’importantes invocations qui nous permettre d’être à l’abri de la sorcellerie. Elles sont très nombreuses, mais en voici quelques unes
1- Manger sept dattes le matin
le prophète (psl) a dit : « Celui qui mange le matin sept dattes, rien durant ce jour comme poison ou sorcellerie ne pourra lui nuire » (Boukhari)
2- Les ablutions
La sorcellerie n’a aucun effet sur le musulman qui est en état d’ablutions car il est protégé par les anges sur ordre d’Allah. Ibn Abbas rapporte que le prophète (psl) a dit : « Purifiez ces corps, qu’Allah vous purifie, car il n’y a d’adorateur qui passe la nuit en état de pureté sans que ne passe la nuit en sa présence un ange ; il n’ y a de moment durant la nuit qu’il ne se retourne sans qu’il (l’ange) ne dise : « Ô Allah, pardonne à Ton adorateur car il a passé la nuit en état de pureté » (Tabarani)
3- La prière en groupe
Accomplir la prière en groupe permet au musulman de se protéger contre le démon, tandis que la négliger permet à ce dernier de dominer la personne. Abou Dardâ rapporte avoir entendu le prophète (psl) dire : « Il n’est point trois personnes dans un village ou une campagne qui n’accomplissent la prière en groupe sans que le diable ne les subjugue. Tiens-toi donc au groupe, car le loup ne s’attaque qu’à la brebis isolée » (Abou Daoud)
4- La prière nocturne
Celui qui désire protéger sa personne contre la sorcellerie doit passer une partie de la nuit en prière. Ibn Mass’oud rapporte que l’on parla au prophète (psl) d’un homme qui avait passé la nuit à dormir jusqu’à l’aube puis s’est levé pour accomplir la prière du matin. Le prophète (psl) dit à son sujet : « Le diable a uriné dans ses oreilles » (Boukhari, Mouslim)
5- L’invocation avant d’entrer dans les toilettes
Cela doit se faire car le diable profite du fait que le musulman se trouve dans cet endroit impur, qui est la demeure des démons, pour prendre possession de son corps. Il est rapporté que le prophète (psl) disait avant d’entrer aux toilettes : « Allâhoumma Innî A oûzou Bika Minal Khoubsi Wal Khabâ-iss » (O Allah, je cherche protection auprès de Toi contre les démons, mâles et femelles »
(Boukhari, Mouslim)
6- L’invocation avant de commencer la prière
Parmi les invocations d’ouverture que prononçait le prophète (psl) dans ses prières, on trouve celle-ci : « A oûzou Billâhi Mina Cheytâni Radjîm, Mine Nafkhihî Wa Nafthihî Wa Hamzihî » (Je cherche protection auprès d’Allah contre le démon maudit, contre son souffle, son inspiration et sa morsure)
(Abou Daoud, authentifié par Albani)
7- Réciter le verset du trône (Ayatal Koursiy) avant de dormir
Le prophète (psl) a recommandé avant de se mettre au lit de réciter Ayatal Koursiy, les sourates Ikhlass, Falaq et Nass (3 fois chacune).
8- L’invocation après la prière de Fadjr
Le prophète (psl) a dit : « Celui qui récite le matin la formule : « Lâ Ilâha Illallâh Wahdahou Lâ Charî kalahoû, Lahoul Moulkou Wa Lahoul Hamd Wa Houwa Alâ Koulli Chey-ine Qadîr » (Il n’ ya de divinité si ce n’est Allah, Seul et sans associé, à Lui la Royauté et à Lui la Louange, et Il est de toute chose Capable) (1oo fois). Il ajouta : « Celui qui le fait, cela lui sera compté comme l’affranchissement de dix esclaves, cent bonnes actions lui seront inscrites, et cent péchés lui seront effacés. De plus, cela lui sera une protection contre le diable ce jour-ci jusqu’au soir, et personne n’aura fait mieux que ce qu’il a accompli sauf un homme qui en aura fait davantage que lui » (Boukhari, Mouslim)
9- L’invocation en sortant de chez soi
Dire « Bissmillah. Ta Wakkaltou Alallâh, Lâ Hawla Wa Lâ Qouwata Illâ Billâh » (Au Nom d’Allah, je me remets à Allah, il n’y a de force ni puissance qu’en Allah)
Celui qui fait cela, il lui sera dit : « Tes affaires sont prises en charge, tu es protégé et guidé ; et le diable s’éloigne de toi et dit à un autre démon : « Comment peux-tu agir sur un homme alors qu’il est guidé, que ses affaires sont prises en charge et qu’il est protégé ? » (Abou Daoud Tirmizi)
Le musulman doit donc être convaincu que le charlatan n’a aucune possibilité de percer les secrets de l’invisible. Croire en lui, c’est, tout bonnement, mécroire à la parole d’Allah (le Coran).
Il y a cinq inconnues que toutes les créatures ignorent, y compris les prophètes. Elles ne sont connues que d’Allah, et Il l’a rappelé dans le Coran en ces termes :
« La connaissance de l’Heure est auprès d’Allah,
et c’est Lui qui fait tomber la pluie salvatrice,
et Il sait ce qu’il y a dans les matrices,
et personne ne sait ce qu’il acquerra demain,
et personne ne sait dans quelle terre il mourra » (S Louqman, V 34)
Frères et sœurs en Islam, craignons Allah car Il mérite d’être craint. Ne mélangeons pas le vrai et le faux. L’islam est une religion globale et non partielle pour appliquer une partie et délaisser l’autre.
La foi est une lumière tandis que la sorcellerie est une obscurité. Or, il ne convient pas à la lumière de cohabiter avec l’obscurité. Lorsque l’une arrive l’autre disparait. Que ceux qui se rendaient chez les charlatans se repentent d’un repentir sincère et décident de ne plus y retourner à jamais. Telle est la voie du salut, celle du monothéisme pur, où Dieu Seul est invoqué et adoré sans être associé.
Qu’Allah nous accorde le Tawhîd (unicité d’Allah) et nous met à l’abri de ce qui égare et ceux qui égarent les hommes.
Paix sur vous
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